La serpentine
Equitation pour tous :: Nous n'héritons pas la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants! :: Informations pratiques :: Vos astuces/Infos débourrage/travail
Page 1 sur 1
La serpentine
Les serpentines
Les serpentines mettent à l'épreuve la finesse de la coordination des aides chez le cavalier, la souplesse et l'équilibre chez le cheval.
Une succession de courbes
Une serpentine est un ensemble de demi-cercles qui se succèdent en sens contraire : un à droite, un à gauche, etc. Elle peut comporter de trois à six boucles. Plus il y a de boucles, plus l'incurvation est importante et plus la figure est difficile. La rapidité de l'allure accroît aussi la difficulté. On commence une serpentine en A ou en C (au milieu du petit côté) : chaque courbe part de la ligne du milieu et y revient. Elle se termine lorsqu'on rejoint le milieu de l'autre petit côté.
D'un bout à l'autre
On utilise pour la serpentine toute la surface du manège ou de la carrière. On enchaîne les courbes en changeant de main, donc de pli (sens de l'incurvation), à chaque passage de la ligne médiane. Le cavalier inverse ses aides à chaque fois. Une belle serpentine est constituée de demi-cercles parfaitement réguliers et égaux. Cela demande une grande précision de la part du cavalier, qui doit utiliser les lettres du manège comme points de repère. La serpentine sera d'autant plus fluide que le cavalier anticipe bien le changement de pli et sait amener son cheval à passer en douceur d'un pli à l'autre.
Au travail !
Il faut aborder progressivement les différentes figures de manège. Il faut savoir maîtriser à la fois la figure et la cadence. On commence donc par de grands cercles au pas, puis au trot. Les serpentines sont des figures plus complexes qui demandent des aides fines. On les aborde un peu plus tard. Une bonne façon de s'y préparer : le slalom entre des plots.
Le bon geste
Beaucoup de chevaux cherchent à s'épargner l'effort de l'incurvation : ils se contentent de ployer fortement l'encolure sans fléchir l'ensemble du corps, en se couchant sur le cercle. Il faut alors corriger le pli excessif de l'encolure en résistant sur la rêne extérieure, accentuer le contact de la jambe intérieure à la sangle et maintenir les hanches sur le cercle à l'aide de la jambe extérieure reculée.
Les serpentines mettent à l'épreuve la finesse de la coordination des aides chez le cavalier, la souplesse et l'équilibre chez le cheval.
Une succession de courbes
Une serpentine est un ensemble de demi-cercles qui se succèdent en sens contraire : un à droite, un à gauche, etc. Elle peut comporter de trois à six boucles. Plus il y a de boucles, plus l'incurvation est importante et plus la figure est difficile. La rapidité de l'allure accroît aussi la difficulté. On commence une serpentine en A ou en C (au milieu du petit côté) : chaque courbe part de la ligne du milieu et y revient. Elle se termine lorsqu'on rejoint le milieu de l'autre petit côté.
D'un bout à l'autre
On utilise pour la serpentine toute la surface du manège ou de la carrière. On enchaîne les courbes en changeant de main, donc de pli (sens de l'incurvation), à chaque passage de la ligne médiane. Le cavalier inverse ses aides à chaque fois. Une belle serpentine est constituée de demi-cercles parfaitement réguliers et égaux. Cela demande une grande précision de la part du cavalier, qui doit utiliser les lettres du manège comme points de repère. La serpentine sera d'autant plus fluide que le cavalier anticipe bien le changement de pli et sait amener son cheval à passer en douceur d'un pli à l'autre.
Au travail !
Il faut aborder progressivement les différentes figures de manège. Il faut savoir maîtriser à la fois la figure et la cadence. On commence donc par de grands cercles au pas, puis au trot. Les serpentines sont des figures plus complexes qui demandent des aides fines. On les aborde un peu plus tard. Une bonne façon de s'y préparer : le slalom entre des plots.
Le bon geste
Beaucoup de chevaux cherchent à s'épargner l'effort de l'incurvation : ils se contentent de ployer fortement l'encolure sans fléchir l'ensemble du corps, en se couchant sur le cercle. Il faut alors corriger le pli excessif de l'encolure en résistant sur la rêne extérieure, accentuer le contact de la jambe intérieure à la sangle et maintenir les hanches sur le cercle à l'aide de la jambe extérieure reculée.
Equitation pour tous :: Nous n'héritons pas la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants! :: Informations pratiques :: Vos astuces/Infos débourrage/travail
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|